7DTD - Anorexia- Partie RP PVE du vendredi 1er janvier 2016 - 21 h

T'as même pas une pipebomb ou deux pour passer le temps ?

Je serai là à 17 h et ne repartirai pas tant que Nam Nam sera entre les mains de ces menteurs.

hermercure a écrit:

Je serai là à 17 h et ne repartirai pas tant que Nam Nam sera entre les mains de ces menteurs.

J'ai réussi à trouver des cailloux alors je jongle et fous le bordel pour les emmerder un max

Je serai là en fin d'après-midi. Aujourd'hui est le jour où je suis le moins disponible, comme par hasard!

J'ai pas tout compris à ce qui vient de se passer mais ça a chauffé!

Putain mec, c'est le moins qu'on putain puisse dire bordel de merde !

Suite à l’enlèvement de NamNam et de notre demande de rançon, nous étions sur les dents avec Francky. On surveillait le village. Je restait à la grille et lui se planquait dans un autre bâtiment.

Plusieurs jours ont passé, puis, un beau matin, un gars à poil se pointe, seul, avec pour unique habits un casque de chantier et un slip sale. Il se rapproche de la grille, me regarde, et ne dis rien. Je reconnais le muet.

Putain, ces blancs-becs trouvent pas mieux qu'un putain de muet pour négocier et ramener la putain de rançon...

Sauf que le mec il paye rien, il saute partout autour de la bâtisse et même se met à donner des coups dans le bâtiment. Francky lui décoche un carreau, bizarrement ça le calme, il ressaute autour pendant 30 seconde et se barre.

Quelques minutes après, je revois le muet, plus loin, qui tente de contourner nos bâtiments, je vois aussi deux gars qui arrivent par le nord, en mode discret, mais pas assez. Ils m'observent depuis la porte d'une maison. J'en vois un troisième au sud, entre nos plantations et le futur bistrot Reyes. Quelques instant après, une explosion, à 100m de ma grille et mon armure qui vole en éclat à cause de l'impact d'une balle.

Le truc m'a quand même fait un peu mal, je me planque, me soigne, et sort mon fusil pour viser les mecs au nord. Je tir, au même moment je reçoit une deuxième balle, celle la je l'ai senti passé... Je rampe difficilement jusqu'à notre sous-sol, là où se trouvait NamNam, et je me planque dans un des recoins qu'on avait aménagé dans l'idée où les mecs payeraient pas de rançon. Francky s'est défendu comme il a put de son coté, mais a du rejoindre le bunker aussi et à suivit la suite du plan.

Maintenant, on les attends de pieds ferme ces blancs-becs...

On entend une foreuse au dessus, ils ont donc passé les murs à la surface. Quelques instants après, voila un gars qui débarque, la fleur au fusil. On est toujours cachés avec Francky. NamNam le prévient qu'on s'est planqués, et j'ai le temps de le trouer avant qu'il ne comprenne quelque chose. Les autres descendent, et c'est un vrai bain de sang. Je me suis pris pas mal de bastos, Francky aussi, mais on les a fait douiller les gars. L'un d'eux a réussi à ouvrir la cage de NamNam, qui a prit un flingue, et on a été obligé de lui faire quelques trous aussi...

Au bout d'un moment, ça s'est calmé. Une fois la fumée dissipée, y'avait trois cadavres en bas. NamNam, Francky et moi étions gravement blessés. On se soigne, tout en gardant un œil sur l’otage, puis on reconstruit la cage et on répare nos installations. Je ne sais pas comment il s'y est prit, mais NamNam a réussi à démonter la grille fraichement posée et à se barrer pendant qu'on retapait le tout.

On s'est mis à le chercher, et on est tombé sur un autre gus de chez eux, il tentait de parlementer, mais il s'y prenait comme un manche. Francky lui met une balle après l'avoir prévenu qu'il disait n'importe quoi. Le type se réfugie dans un autre bâtiment et continue de nous arroser. On fini par le trouver et on lui colle quelques balles. Il parvient quand même à s'enfuir.

Du coup, pour marquer notre victoire, je me décide à installer notre nouvelle antenne, celle qu'on a trouver il y a quelques jours sur un autre shotgun messiah. Elle est, en guise de trophée, à la vue de tous au dessus de notre grille.

Bilan en terme de jeu de notre coté : 5 ennemis tués pour Francky, 3 morts, 6 ennemis tués pour moi, 3 morts.

Au final, on pensait vraiment se faire raser (et c'était un peu le but de cette opération, que vous récupériez l'antenne et l'otage), mais après réflexion, notre système de défense était peut-être un peu corsé une fois en bas pour vous. On voulait vous opposer de la résistance, mais que vous gagniez quand même. Dans tout les cas, on s'est bien amusés de notre coté, j'espère que c'était pareil en face.

C'était hardcore, fun mais hardcore...

Récit RP:


Si vous lisez ceci, c'est que vous avez rangé ma chambre. Je suis donc mort...

Tout à commencé il y a une quinzaine de jours, lorsque nous étions à la recherche de l'antenne fonctionnant avec la radio trouvé dans un commissariat. Cette antenne était le seul moyen d'avoir une portée suffisante pour contacter Atlanta et délivrer un signal de détresse.

Après avoir appris que les Reyes, ce groupe d'hommes sans foi ni loi, étaient peut-être en possession de celle-ci, nous avons organisé un rendez-vous pour voir comment nous pourrions la récupérer.

Après négociations, nous avons trouvé un accord équitable: Nous fournissons le plan de construction du magnum et une foreuse contre l'antenne, à condition qu'elle soit complète et fonctionnelle.

L'échange est acté le lendemain, non sans doute de notre part quant à la bonne marche de cette antenne.

Après plusieurs jours d'installation et d'essai, Panurge qui a des notions d'électronique nous informe qu'il est impossible que l'antenne en notre possession soit complète. En effet, sur les 12 mètres nécessaires à la transmission, nous n'en avons que 4.

On s'est fait rouler....

Le lendemain, Seb et MayDay décident d'aller voir les Reyes et profitent de leur sommeil pour s’infiltrer dans leur base et fouiller leurs coffres. Impossible de mettre la main sur cette foutue antenne... Ils ont dû la cacher, et le seul moyen de mettre la main dessus sera de faire à nouveau un pacte avec le diable. El Diablo, comme ils diraient....

Deux jours plus tard, profitant du passage d'une horde à proximité de notre base, je m'éclipse pour rejoindre le territoire des Reyes dans le but de négocier pacifiquement: En effet, il y a quelques mois, j'ai sauvé l'un des leurs, coincé dans une mine, avant de l'héberger, lui et ses deux cousins, pour une nuit, à l'abri des zombies.

Je pensais sincèrement que malgré leur tempérament difficile, il subsistait une once d'humanité en ses personnes.

J'avais tort...

A l'approche de leur base, j'ai entendu un bruit de pas sur ma gauche, un zombie se jetait sur mois. Puis j'ai entendu un bruit dans mon dos. Avant de comprendre ce qu'il se passait, je recevais un coup sur la tête et était trainé, inconscient, dans une pièce.

Cette pièce était une cellule de 5x5m, ayant 3 murs de roches et une grille sacrément solide. J'étais manifestement sous terre. Comme seule décoration, une table et une chaise en bois et la lumière vacillante d'une bougie d'appoint.

J'avais quelques verres d'eau et un peu de nourriture, des vêtements, et rien d'autres... On m'avait tout pris pendant ma perte de connaissance...

Devant ma cellule, je remarque qu'une personne me regarde, l'un des Reyes. J'essaye de comprendre ce qu'il me veut, et il m'annonce que mes amis vont devoir payer pour ma libération, et rapidement, sinon je vais finir comme nourriture aux zombies du coin...

pendant environ une semaine, je suis resté dans cette cellule crasseuse. Je commençais à perdre espoir... Puis, soudain, dans une lueur de lucidité, je prends conscience de mes compétences en architecture.

Je ne vais pas crever dans cette cellule, il en est hors de question !


Commence alors un long travail pour moi. Je réfléchis longuement à toutes les façons de fuir mais ces Reyes sont très présents et me surveillent beaucoup. Je décide de faire semblant de taper aux murs pour les emmerder pour en fait récupérer des cailloux. Un maximum de cailloux.

Je cache dans un coin mon petit tas et j'attends le moment propice... A un moment donné, après environ 10 jours de séquestration, je sens une certaine tension dans l'air: quelque chose se prépare mais je ne sais pas quoi. 

une intuition me pousse à mettre mon plan en action: Je prétexte avoir froid pour qu'on m'apporte quelques vêtements supplémentaires, les miens étant déchirés et peu chaud.

Je crée des feux de camps que je dépose juste derrière la porte de ma cellule. Ils ne peuvent les voir sans rentrer dans ma cellule et poser les pieds dessus. J'y mets les vêtements et je prends la bougie à la main, prêt à les allumer dès qu'ils passeront la porte.

En même temps, je casse la table et la chaise, et avec le bois, je fabrique un Wooden Club de fortune. ça me permettra de casser les barreaux quand l'occasion se présentera.

Des coups de feu sont échangés là haut. L'un des Reyes entre dans ma cellule. J'allume mes feux de camps et brûle grièvement mon kidnappeur, mais celui-ci arrive à s'échapper et à refermer la porte.

Peu importe, il brûlera!

mon wooden club toujours caché sous le lit qu'on m'a apporté il y a quelques heures, pour que je me dorme, j'attends le bon moment...

J'entends des gens tirer là-haut, des cris, et les Reyes qui s'agitent...

Un par un, je vois débarquer mes compagnons venus me sauver. Tous prennent des balles, j'en prends une. Mon souffle est coupé. j'avais préparé le coup en faisant des bandages avec certains vêtements apportés par l'un des Reyes, Francky.

L'un de mes compagnons arrivent à faire fuir les Reyes des abords de ma cellule et en profite pour scier les barreaux de ma cellule avant qu'il ne prenne une balle. Je sors rapidement pendant ce temps là, je fouille un coffre à proximité et y découvre une arme, quelques munitions, une hache et un vêtement chaud. 

J'entends mes ravisseurs revenir, je prend une balle et retourne dans ma cellule. Je préfère rester en vie que de tenter une sortir et mourir.  Je me soigne à nouveau .Il semble faire nuit, mais je n'en suis pas sûr... Je vais à nouveau attendre.

Après avoir caché mes armes, je fais semblant d'être de bonne foi et dépose le wooden club que j'ai fabriqué le matin même. C'est bon, ils pensent que j'abandonne tout espoir de fuite.

En faite, c'est tout l'inverse. Je les laisse savourer leur victoire et réparer ma cellule. Ils pensent m'avoir piégé à nouveau. Il n'en est rien.

Ils ont pris des tirs et doivent aller se soigner, se reposer et aussi se réapprovisionner en munitions, "au cas où".

C'est mon top, je sors la hache de mon sac de couchage, je casse 2 barreaux, et m'extirpe de ma cellule. J'aperçois l'antenne qui était sensé être la notre. Je reviendrai, j'espère...

je monte l'échelle à toute vitesse, hors d'haleine, je saigne. en sortant j'entends une voix familière. Mon ami d'enfance Errosc, avec qui je partage tout, et avec qui j'ai traversé toute cette apocalypse :" NamNam, c'est toi? Je suis venu te chercher. Je ne t'ai pas laissé tomber!"

Dieu soit loué, une voix familière. Mes autres amis semblent tous morts, et je suis moi même mal en point. Un zombie nous surprend, je n'ai plus de force et il me blesse encore plus que je ne le suis déjà. Je titube... Il faudra de longues heures à Errosc et moi pour rejoindre la sécurité de la Base.

Je m'affale dans mon lit, et on m'aide à me soigner au mieux. J'ai appris que dans l'assaut, le muet, Marn3us et Panurge sont morts. Définitivement... Pour Seb, personne ne sait trop. On l'a vu prendre des balles, et on ne sait pas si il a réussi à se soigner. C'est lui qui avait la trousse de secours, parait-il. C'est une chance.
Errosc a quelques éraflure. Une balle l'a touché au bras mais il semble aller bien...

Errosc décide de me laisser reprendre mes esprits et va se coucher...

Je sens que je ne passerai pas la nuit, malgré tous les efforts de mes amis pour me sortir de là. J'aurai tellement aimé les remercier...

Voilà où ce récit s'arrête. Je vais ranger ce papier dans mon coffre. Si je ne survie pas à mes blessures et meurs, ce récit fera office de témoignage de ce que l'être humain peut être, même quand un ennemi plus fort que nous existe.

Adieu mes amis.

NamNam est mort.

RIP l'architecte
RIP le fou d'explosifs
RIP l'infatigable cuistot
RIP le meneur d'hommes

hermercure a écrit:

RIP l'architecte
RIP le fou d'explosifs
RIP l'infatigable cuistot
RIP le meneur d'hommes

Et pendant ce temps là, un village peuplé d’irréductibles Reyes survit encore et toujours à l'envahisseur.

Mais pourquoi recourir à la violence messieurs je me demande ? Quand on peut obtenir l'objet du crime d'un simple aller retour...

Vous l'aurez compris, votre voisine Mayday si triste et si seule au monde après le décès de ses amis si charmants et si protecteurs envers elle, décida de reprendre cette antenne coûte que coûte ! Enfourchant sa moto les yeux embués de larmes, elle traversa les terres brûlées de l'enfer, le biome neige encore tout tâché de sang de blessés rentrant du combat vaincus la veille par les Reyes, pour enfin arriver à la savane, lieu de perdition, lieu de tous les pêchés.
 
Un vacarme de bruit de pioches, de pelles, se faisait entendre de leur demeure. Poussin devait certainement creuser des trous afin d'enterrer nos illustres cadavres, nos chers amis tombés pour notre liberté si chère à nos cœurs. C'était l'occasion ! Ameutant tous les Z du village avec les bruits de Poussin, ce fut difficile de poser des frames autour de l'antenne pour la récupérer. Mayday faillit passer de vis à trépas, mais une fois les blocs dans le sac, une petite bière pour fêter l'évènement ne pouvait qu'être aubaine afin de courir le plus vite possible à sa moto.

Elle avertit sans plus attendre Yann, un nouveau, dès son retour, et l'antenne enfin montée sur le toit de la base nous attendîmes quelques instant. Quel suspens ! Un signal est apparu, et enfin, un message très clair de la suite des évènements à venir...

Cette semaine, Mayday est partie chez les Reyes. Dans quel but ? Avec quelles précautions ? Elle seule pourra nous le dire. Mais peu importe finalement puisqu'en approchant de cette ville maudite, que l'histoire retiendra sous le nom de Reyes Creek, elle a aperçu l'ultime provocation de ces sauvages sans nom, qui baignent dans le chaos avec l'aisance d'un poisson dans l'eau. Plus personne avec qui négocier, l'antenne redevenait ce qu'elle aurait toujours du rester : un moyen de se sortir de cet enfer.
Mais comme l'histoire va le montrer, ce qu'on croyait être l'enfer n'en était que l'antichambre.
Arrivée à la base de ses défunts voisins, Mayday, en solitaire qu'elle est a monté l'antenne et l'a reliée à la radio, du mieux qu'elle pouvait, à partir du spectre des souvenirs de ce qu'avait pu expliquer Panurge, quand il était encore de ce misérable monde.
Un des nouveaux, Yann Conrad, électricien de métier a émis un SOS à l'attention d'Atlanta :

Yann :     Atalanta ici Baldwin, Atlanta ici Baldwin répondez
Atlanta : Baldwin ici Atlanta, nous vous recevons faiblement. A vous.
Yann :    Nous sommes une dizaine de survivants organisés et nous demandons une évacuation. A vous.
Atlanta : Évacuation impossible en l'état. Avons détecté une vague sans précédent de Z se dirigeant depuis l'Ouest vers votre secteur. Arrivée estimée dans 5 jours. Soyez extrêmement prudents. La densité de monstres va augmenter ainsi que leur puissance physique. Certains semblent d'une redoutable rapidité et leurs sens sont aiguisés.A vous.
Yann : Quelles sont les conditions pour une évacuation ? A vous.
Atlanta : Au vu de ce qui arrive sur vous, nous allons chercher et définir un point d'extraction sécurisé. Nous mettons nos cartographes sur le coup et vous donnerons les instructions dans moins d'une semaine. En attendant préparez-vous. Accumulez de quoi construire une plate-forme d’atterrissage en béton de 10 mètres par 10 mètres. Accumulez aussi de qui survivre en autonomie pendant une semaine. A vous.
Yann : Bien reçu. A vous.
Atlanta : terminé.
Yann : terminé.

Yann a regardé l'infirmière dans les yeux. Et il y a décelé une détermination qui résumait à elle seule des jours et des jours de combat contre le pire de ce que l'humain n'ai jamais engendré.

Ce matin là, Seb se réveilla groguis... laissé pour mort par les reyes hier, alors qu'il tentait inexorablement de comprendre la trahison des reyes...
voilà là ses derniers souvenirs...
un bain se sang... tout ça pour sauver l'architecte, si dit-il...
"j'espère qu'il est encore en vie ce con" parla-t-il a haute voix..."

Les souvenirs reviennent.. La veille au crépuscule, avec ses compagnons d'infortune (Le muet, Panurge, Erosc, Marneus...) ils avaient décidé de venir libérer l'Architecte Nam Nam, et essayer de récupérer l'antenne... Il n'y a pas eu de discussion. une rocket lancée par Panurge lança les hostilités.
Les reyes avait prévu leur coup, et étaient au chaud dans leur bunker, avec une vue parfaite sur les assaillants.
Du tir au lapin, se disait Seb. "Quoique la première balle, c'est le muet qui me la balancée" Dit-il tout fort..."
Il se souvient avoir tiré, tiré, encore tiré... Casser le mur avec sa foreuse. assister au massacre de Panurge en bas du bunker, devant la cellule de Nam NAm. D'ailleurs, avant de mourir, Panurge avait eu le tps de le blesser. il devait halluciner dans la blessure...
Bref. juste le temps pour casser les grilles de la cellule, et crier à Nam NAm de déguerpir...
Pan ! Une balle.
riposte. re balle... blessé, à l'agonie, juste l’énergie de remonter, Seb se planque dans la petite maison abandonnée à l'étage.
Il fait noir. Très noir. La lune est rousse. Plus de lampe sur le magnum. Plus de casque de mineur en fonctionnement. OUi, il fait définitivement noir.
Des pansements, des médocs... il faut se soigner... Vite... Il se sent repéré... mais c'est quoi là bas ? l'architecte qui se sauve. Bonheur...  un rayon de soleil dans le fiasco de ce soir..; Encore des échanges de tir... Un reyes au loin. C'en est trop. Il tire. Un reyes à terre, rampant aussi bien qu'un crawler...
Cette fois ci, c'est sur, il est repéré. Autant descendre et assumer... 
Face a face avec le frangin reyes... l’échange tourne court, il sent une brûlure à l'épaule, et s'écroule pour mort...
Le Poussin repart aider son frère blessé, de quoi laisser Seb se "réparer"... Dans un dernier souffle, affaibli, il tente de retrouver les frangins, et de, [enfin], découvrir POURQUOI.
POURQUOI, si les reyes détestent autant les blancs becs, POURQUOI ils veulent les empêcher de rentrer à Atlanta ?
Si les Reyes souhaitent rester, c'est l'occasion de mettre la main sur le stock faramineux des blancs becs, une fois partis...
Non, Seb ne comprend pas..; D'autant que la réponse n'est jamais venu à ce pourquoi.
UNe balle. une seule. En guise de réponse, prise juste à coté du coeur.
Seb s'effondre, et reste gisant dans son sang... Dernier souvenir de Seb
Le soleil se leve dans le ciel de ce désert. Les z sont absent, coup de chance...
l'instinct de survie fait se relever Seb. il se souvient que sa moto est planquée à 2 pas. Aura-t-il assez d'energie pour la retrouver ? Oui, la voila... assez d'esence pour entrer.
Le retour se fait au radar..; Pas d'arme. PAs de bouffe. PAs de boisson. vivement la maison...
la maison est là. Il monte, se couche, et va dormir pour les 5 prochains jours... 

Bilan : 5 morts subies, dont la dernière, la balle suivant la dernière sommation, que j'ai pas acceptée...
4 Reyes Butés. Pas d'amis buté (ce qui été rare hier ^^)

Une sacré bonne soirée, avec ses émotions... Mais attaquer un tel "bunker" est quasiment impossible en l'état pour les assaillants, même si seulement 2 personnes défendent.
Les lits des assaillants étant un peu plus loin, les attaques finissent par être "quasi" individuelles.

Bref, on a bien rigolé, et c'est bien le but.

La vague de Z mutants est bien passée et après une première vague très dévastatrice, les choses se sont un peu tassées. On ne trouve plus de feral en pleine campagne comme ça a été le cas pendant deux jours. Par contre de nouveaux Z sont apparus, plus infectieux et plus sensibles au mouvement.
Comme prévu, Atlanta a contacté la base de survivants pour indiquer que le groupe d'experts de la géographie locale avait trouvé un point d'extraction. Un promontoire en plein désert, au sud de Baldwin, au point 1667 S 27 E.
Le frère de Panurge a demandé jusqu'au jour 200 pour construire la plateforme en béton. Un livre permettant de couler du béton a été trouvé dans un coffre que les nouveaux habitants ont du forcer. Le délai est bien court. Il faudra miner beaucoup de pierre et faire tourner les forges en continu pour espérer finir dans les temps.
La migration sera certainement douloureuse. Mais ont-ils le choix ? C'est leur dernière cartouche. Et rien n'est acquis.

INFOS :
Ce soir IRL les survivants de la base vont continuer à amasser les ressources nécessaires à la fabrication de la plateforme (cement, scrapiron, steel) et de la nourriture et du café (pour la migration dans le sud).
Demain après-midi, Mayday va compléter ce qui nous manquera.
Demain soir (vendredi) à 21 h, les survivants présents s'équiperont de vivres et de matières premières pour construire la plate-forme, dans le désert.
Sera considéré comme sauvé, tout perso qui aura posé son sac de couchage sur un bord de la plateforme. Et sera présent à 23 h IRL.

Évidemment, deux petits grains de sables vont légèrement gêner le bon déroulement des opérations :
1 ) Poussin Reyes a looté une petite radio réglée sur la fréquence utilisée par Atlanta. Il a entendu et noté les coordonnées du promontoire, au cas où.
2 ) Dès que la plate-forme sera montée, une suite de hordes sanguinaires attaquera le promontoire de tous bords, à une fréquence impensable.

Il y a des films qui finissent bien. Il y a ceux qui finissent en orgie de violence. La fin n'est jamais écrite. Car le destin est taquin. Et il aime à jouer avec ses pantins.

HRP: Pour info je ne serai pas dispo demain soir. Bonne chance et butez autant de Reyes que vous pouvez!

Je suis dispo ce soir, ça tombe bien. Francky va peut etre pas être là à l'heure, mais il passera dès qu'il peut.

pas la ce soir... si nécessaire, les blancs becs peuvent venir dans ma maison. servez vous en armes, munitions et soins, ça foisonne ! les clefs sont sous le paillasson, mais c'est aussi bien de forcer les serrures !

Pas sûr d’être disponible assez longtemps ce soir... 

Et vu le nombre d'absents...